Open
bar pour l'OL
De notre correspondant Alexandre
Même si le suspense
n'était pas au rendez vous, le simple
fait de se retrouver une seconde fois
Champions de France relève de
l'exploit et méritait un triomphe
romain. Malgré un score peu reluisant
assurant tout de même une 5ème
place à Guingamp, le dernier coup de
sifflet à laissé place à une fête
retentissante en l'honneur de
l'Olympique Lyonnais. Nous avons donc
ajouté deux nouvelles étapes dans
notre circuit habituel : l'Hôtel de
Ville et le First, avec les joueurs
qui savouraient leur victoire.
Comme le 11 mai dernier (OL-PSG à
Gerland), la pluie est au rendez vous.
Comme quoi les chansons de Mario
Gurrieri (toute la semaine en
mission commando à Cannes) n'ont rien
à voir avec cette météo peu clémente.
Cela n'a pas empêché les supporters de
l'OL de nous faire une belle
démonstration de leur passion pour le
football et pour... le jardinage ! Après
une courte visite chez Christophe
Michelon à l'Argenson,
c'est dans les loges que nous allons
sévir...
Un petit
tour chez nos amis du Progrès
nous a permis de constater que
Marc Jean s'est improvisé goûteur
de plats, pour protéger son PDG
Christian Coustal ? Malgré cela,
les petits fours (pas plus que le
match) ne sont parvenus à décrocher
Bob Sinclar et Charles Couty
de leurs portables ! Heureusement que
Philippe Crozet et
Dominique Lafoy (le sosie
officiel de Bruno Bonnel)
étaient plus attentifs. Comme
toujours, une grande agitation règne
dans la loge ONET. Michel Janin
Bailly à qui Gérard Collomb
est venu rendre visite pendant la
mi-temps (sans doute pour saluer la
nouvelle Miss Grand Lyon Stéphanie
Augris) ne s'en plaindra
pas. A peine élue Miss Grand Lyon,
cette jeune femme attire déjà tous les
regards (Barth ne dira pas le
contraire)...
C'est
ainsi, qu'après avoir écouté Andrée
Michon encenser Thierry
Braillard et un court passage chez
Bouteille Excelsior où Rémy
Jomard et Olivier Delorme
rivalisent d'anecdotes croustillantes,
nous arrivons sans nous en rendre
compte à la fin du match. La foule en
délire acclame ses héros, Sonny
fait ses adieux, Gégé applaudit
et Aulas jubile. Spectacle
contemplé non sans émotion par son
prédécesseur Roger Michaux. Le
temps que les joueurs finissent leur
tour de stade et les virages sud et
Nord se retrouvent sur la pelouse,
lançant des mottes d'herbe sous l'il
attristé du fleuriste Franck
Hernandez.
Un
dernier au revoir à ceux pour qui la
soirée s'arrête là et direction les
salons de l'Hôtel de Ville (bravo à
Isabelle et Sandrine pour
leur efficacité à l'accueil), sous
lesquels tous les Bad Gones armés de
fumigènes et autres feux d'artifice se
sont apparemment donné rendez-vous.
Une scène de liesse et de bonheur
s'offre alors à nos yeux : Sonny
Anderson, Sydney Gouvou,
Grégroy Coupet et Vikash
Dhorasso sabrant des bouteilles de
champagne, et 8000 supporters
dansant au son de l'hymne de l'OL
chanté par Jean Michel Aulas
(belle leçon de promo).
La fête
se poursuivra au First, réservé
pour l'occasion par le club (voir
chronique).
Après Aulas supporter, Aulas Chanteur,
nous découvrons Aulas danseur, comme
quoi il faut savoir tout faire quand
on est un bon président. Orchestre
brésilien, joueurs en goguette et open
bar jusqu'à 7h du matin, voilà une
victoire qui restera gravée dans
toutes les mémoires - en attendant
celle de l'année prochaine ?
Pour visionner les
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