Le faux-c… Michel-Edouard Leclerc, le mégalo Montebourg et la pouffe Duflot à la Une du Point

Par Marc Polisson

Une couverture au vitriol, à la « Marianne ». Sur laquelle s’affichent les visages constipés de la ministre Cécile Duflot, du syndicaliste Thierry Lepaon ou encore de « l’épicier » Michel-Edouard Leclerc qui « par corporatisme ou clientélisme, par cupidité ou sectarisme, abîment la France ». Au niveau local, leurs disciples reproduisent à l’infini leurs comportements nuisibles.

Prenez la verte Duflot, « visage moderne d’une écologie peu portée sur le progrès », qui bloque la recherche sur le gaz de schiste et se positionne contre l’aéroport Notre Dame des Landes. A Lyon, elle est relayée par Etienne Tête qui a fait de la maniaquerie procédurière son fonds de commerce (en tant qu’avocat) et sa raison d’exister (au niveau politique). Ses interventions manquées n’empêcheront pas la construction du grand stade… mais que d’argent gaspillé et d’énergie perdue !

Vous ne connaissez peut-être pas encore Thierry Lepaon, bien qu’il se pavane de plus en plus souvent sur les plateaux de télévision. C’est le successeur désigné de Bernard Thibault à la tête de la CGT. Ce dernier avait un point commun avec l’adjoint Yves Fournel : leur marque de shampoing. Le syndicat communiste vient de se faire remarquer par l’épilogue malheureux et prévisible de l’usine Goodyear d’Amiens, et portera l’entière responsabilité de sa fermeture. A Lyon, le syndicat « vertueux » est impliqué dans le détournement de 339 000 euros du comité d’établissement de la SNCF. C’est aussi le cas chez EDF, Air France… Et combien d’usines régionales ont-elles fermé leurs portes à cause de son intransigeance…

Enfin pour ce qui est de Michel-Edouard Leclerc, le voir clouer au pilori en a réjoui plus d’un. Et pas seulement à cause de ses pub radio à la belle doche, horripilantes de niaiserie. A la suite de son père, « l’étouffeur de PME » poursuit la seule cause qui lui importe vraiment : son enrichissement personnel. Peu importe la casse aussi bien dans les petites entreprises que chez les agriculteurs qu’il étrangle. Au quotidien, il est aussi responsable de la désertification commerciale de nos campagnes : si vous ne trouvez quasiment plus une station-service hors supermarché, c’est grâce à lui. C’est aussi vrai dans les rues de Lyon.

Le Point – Edition du 7 mars 2013 – 3,50 €