Texte : Morgan Couturier – Retiré des parquets depuis sa retraite prise en 2019, Tony Parker n’en reste pas moins une légende de la NBA. Pour preuve, dès samedi prochain, l’ancien meneur de jeu des Spurs devrait intégrer le prestigieux Hall of Fame du championnat américain, un panthéon de stars ne regroupant que le gotha des basketteurs US.
Il ne manquait que cela. Un ultime couronnement dans une carrière scintillante. Un hommage de plus à un jeu si léché que les années ne surent l’effacer. En effet, quatre ans après avoir tiré le rideau sur 18 saisons de NBA, enrichies de quatre bagues de champion et six participations au All Star Game, Tony Parker demeure toujours une légende du célèbre championnat américain. Plus encore, l’actuel président de la LDLC ASVEL s’apprête à gravir une marche supplémentaire. Un pas vers l’Olympe, de façon à rejoindre ce qui se fait de mieux du côté du basket US : le Hall of Fame.
Selon la chaîne locale, ESPN, l’ancien meneur de jeu des San Antonio Spurs devrait ainsi rejoindre dès ce samedi, le panthéon de la NBA, et son prestigieux musée situé à Springfield, au côté d’illustres grands noms du championnat américain, tel que Wilt Chamberlain, Magic Johnson, Michael Jordan ou le regretté Kobe Bryant. Un parterre de stars où ne figurent qu’une poignée de joueurs et joueuses, le Hall of Fame comptant à ce jour, à peine plus de 220 basketteurs. Une preuve supplémentaire du talent de Tony Parker, dont le profil singulier a su convaincre les membres du comité (il faut obtenir à minima 18 votes sur 24 juges) de l’intégrer à cette élite.
Nominé dès sa première année d’éligibilité
Et si l’ancien numéro 9 des Spurs fait inévitablement office de premier Français à décrocher pareille nomination, cette installation au Hall of Fame s’accompagne d’un bonheur additionnel. Toujours selon la chaîne sportive américaine, Tony Parker devrait intégrer une promotion ô combien prestigieuse, dans laquelle doit figurer un certain Gregg Popovich, le coach de tous ses succès dans le Texas.
Au total, onze nominés devraient accompagner la légende lyonnaise, parmi lesquels se trouvent d’anciens adversaires du Lyonnais, Dwyane Wade, Dirk Nowitzki et Paul Gasol en tête. L’aboutissement d’une carrière pour Tony Parker, dont le couronnement planétaire pourrait être célébré ce dimanche 2 avril, à l’Astroballe, à l’occasion de la réception du derby face à la Chorale de Roanne. Un hommage de plus pour une légende désormais éternelle.
« la légende Lyonnaise »?????
Pourquoi cette expression ridicule et mensongère, Tony Parker n’a jamais été lyonnais. votre journaliste devrait travailler un peu ses dossiers enfin l’auteur de l’article!!!