Texte : Marco Polisson – L’ancienne animatrice télé, reconvertie avec succès dans la décoration a été méchamment prise à partie par un vélotafeur.
C’est une Cécile encore traumatisée qui s’adresse à ses followers Instagram. Le visage tendu et les traits serrés, la jeune femme qui a connu la célébrité sur le plateau de Canal + a décidé de rendre publique l’agression dont elle a été victime vendredi 15 novembre 2024.
L’épouse de l’ancien footballeur Dominique Casagrande se rendait à son travail en voiture, via le chemin de Fontanières qui domine les collines de la Mulatière et de Sainte Foy les Lyon, « une voie très sinueuse, étroite et à double sens » qu’elle emprunte quotidiennement et qu’elle connait parfaitement.
C’est alors qu’elle dépasse un cycliste. « Ensuite, je le vois s’agiter dans mon rétroviseur, sans doute a-t-il estimé que j’étais passée trop près de lui, mais ce n’est pas du tout le cas. Je roule à 20 km/ heure dans ce chemin, je l’ai dépassé largement, je sais qu’il faut dépasser à 1,50 mètre. »
A la fin du chemin de Fontanières, Cécile Simeone s’arrête au feu qui fait le croisement avec l’avenue Debrousse, et c’est là que tout bascule. « Ce monsieur me dépasse, je ne m’y attendais pas du tout, il se met devant ma voiture et met son vélo sur le parechoc. » Cécile Simeone descend sa vitre et n’a pas le temps d’engager la conversation qu’elle reçoit un coup de poing du cycliste venu à sa hauteur.
« Hier, j’ai pris un coup de poing ! »
La décoratrice a reçu le coup dans l’oreille, car elle a pu en partie esquiver. « Tout va bien pour moi, ne vous inquiétez pas là-dessus » rassure-t-elle ses fans. « Aujourd’hui, ce qui m’est arrivé, tout le monde en parle ! » en faisant référence aux incivilités qui gangrènent nos routes et rues lyonnaises depuis que la gente vélocipède a pris le pouvoir.
Comme des milliers de Lyonnais, l’animatrice constate désabusée l’anarchie ambiante due aux transformations à marche forcée conduites par la secte verte. « Notre ville va devenir piétonne, son quartier principal, le plus commerçant, va être complètement fermé » déplore-t-elle,
« J’étais sonnée ! »
« Ce qui me rend malade aujourd’hui, c’est que j’aurais voulu porter plainte contre ce monsieur très lâche qui m’a frappée avec un grand coup de poing dans la tronche. Il est parti en courant sur son petit vélo électrique, il allait beaucoup plus vite que moi ! » Sans plaque d’immatriculation sur son vélo, l’agresseur a pu s’enfuir en toute impunité.
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« Si on veut que ça ne se reproduise pas, il faut immatriculer les vélos ! Vous faites mal les choses ! » apostrophe-t-elle les écologistes au pouvoir. « Les nouveaux aménagements du quai Saint Antoine, c’est une boucherie ! c’est aberrant ! » dénonce-t-elle en expliquant ce qu’elle voit tous les jours depuis sa boutique.
Au moment de sa fuite, Cécile a eu le bon réflexe de le photographier « de dos ». Elle souhaite retrouver son agresseur pour le traduire en justice. Il réside très certainement à Sainte Foy ou à La Mulatière.
L’agresseur de Cécile Simeone en fuite
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