Photo © Fabrice Schiff
Christophe Boudot, tête de liste FN aux élections municipales lyonnaises, n’a guère gouté la 12e biennale de Lyon consacrée à l’art contemporain.
Il fustige l’esthétique des œuvres exposées qui représentent, selon lui, « l’extrême vanité d’artistes autoproclamés mêlée à une fascination morbide ». Les dépenses publiques générées par l’évènement provoquent également son courroux. « Les seules dépenses de communication s’élèvent à plus d’un million d’euros et le Grand Lyon de Gérard Collomb a financé cet évènement à hauteur de 2,7 millions d’euros. Alors que les déficits et la dette publics ne cessent de s’accroître, que les prélèvements obligatoires sont en hausse permanente, il est indécent que nos gouvernants financent sans compter des évènements culturels qui subvertissent la notion d’art et créent un fossé entre le peuple et ses élites », s’indigne celui qui est également président de la fédération FN du Rhône.
l’art « contemporain » est le fruit des idées des premiers socialistes au moment de la naissance de l’impressionnisme vers 1850 (les critiques d’art de l’époque encensant ces nullités s’appelaient Zola et consorts…).
Ensuite on a connu l’évolution, plus de perspective, plus d’anatomie, plus de réalisme (c’est trop dur pour ces fainéants)… le fauvisme, le cubisme et autres conneries ont été les enfants de cette dérive socialisante.
C’est le fameux Art pour TOUS qui n’a plus besoin d’aucune règle pour s’étaler impunément sur des toiles ou des « œuvres » bricolées de bric et de broc….
L’Art contemporain c’est de la fumisterie pour cerveaux lobotomisés.