On savait que 90% des journalistes votaient à gauche. Ceux du service public avaient jusqu’à présent la décence de faire semblant de respecter une certaine neutralité.

La nouvelle directrice régionale de l’AFP ne s’embarrasse pas avec ces principes, comme le raconte le site Enquête et Débat ainsi que l’hebdomadaire Valeurs actuelles : « Gêne dans les rangs de l’Agence France Presse, organe public d’information censé respecter la neutralité journalistique, après le tweet de la responsable du bureau lyonnais, qui évoquait ce président « pour qui j’ai voté »… La fautive a depuis supprimé le message sur le réseau social. »

Valeurs actuelles du 24 octobre 2013