Le quotidien lyonnais était encore absent des kiosques mercredi matin. Une énième grève qui fragilise encore plus le groupe de presse, pourtant assuré d'une large diffusion après la demi-finale de Ligue des Champions.
Pas de Progrès, le lendemain du match historique OL-Bayern ! En pleine négociation salariale, les syndicats ont à nouveau délibérément privilégié la plus dure des confrontations, anéantissant ainsi tout le travail effectué par les journalistes, photographes, administratifs et commerciaux du journal. Des irresponsables qui avaient déjà « fait le coup » au lendemain du second tour des élections régionales. Là encore, les pertes subies en termes de finances – comme d'image – sont immenses. Ce sont en effet plusieurs dizaines de milliers d'euros de manque à gagner pour Le Progrès. Jeter l'argent par les fenêtres et saboter son outil de travail, une façon bien singulière et bien beauf de "préserver l'emploi" !
Et aprés on s’étonne que les riches quittent la france ou n’y reviennent pas….quel climat malsain qui étouffe celui qui entreprend ou veut seulement survivre
Rien de bien nouveau, mon général ! Il suffit de se balader dans les locaux impersonnels et froids du Progrès pour comprendre. Dans les « open space », des visages fermés et des mines constipées.
ils finiront par avoir la peau de leur journal.Ces ouvriers du livre qui n’ont pas encore compris qu’ils étaient en train se scier la branche sur laquelle ils sont assis.Vive la presse par internet et la mort du papier!!