A défaut d’occuper le local mis à sa disposition par SSP dans l’enceinte de l’aéroport, le restaurateur continue d’occuper le terrain médiatique. Dans la rubrique tragi-comédie.
Voici le dernier épisode de la série (NL)B de l’été. Après le feuilleton Hippopotamus de la Confluence et l’enfumage de Tribune de Lyon, plateau (repas) et caméras se sont déplacés vers Satolas. Depuis le début de la semaine, il n’y a plus personne au restaurant Le Bec de l’aéroport Saint-Exupéry. Epilogue d’un conflit social récurrent. Le personnel de service, en grève depuis le 15 août, avait finalement repris le travail à contrecœur onze jours plus tard. Lundi, quand il s’est présenté sur leur lieu de travail, il a trouvé portes closes. Le restaurateur a mis la clé sous le paillasson sans prévenir personne… Selon Le Progrès d’hier, Nicolas Le Bec serait en conflit avec la société concessionnaire des restaurants de l’aéroport (qui a la gentillesse de ne pas faire lui payer de loyer), avec ses employés (qui plombent la masse salariale) et enfin avec l’aéroport (auquel il reproche son manque d’ambition et qui détournerait sa marque). Ça fait beaucoup pour un seul homme, aussi grand Nicolas soit-il ! Nous, on en rigole (avec lui), mais pour les gars qui se retrouvent sur le carreau, c’est évidemment beaucoup moins drôle.
Il est temps de faire tes valises, Nicolas. A ton prochain passage à Saint-Ex, prends un billet aller simple pour Mégaloland. Bon voyage mon pote !
Dans la série mégalo odieux, je crois qu’on a rarement vu pire. A part Thierry Fremaux, bien sûr.
Nicolas va peut être prendre du bon temps à Tanger comme d’autres qui se croyaient arrivés avec un titre sans valeur
C’est incroyable ! ce mec est définitivement une … (censuré) ! Je n’ai jamais vu quelqu’un faire autant l’unanimité contre lui, même Sarko et Claude Puel passent pour des Mickey de l’impopularité à côté de lui