Deux ans après l’affaire Carte blanche pour laquelle il a été condamné, le Petit Paumé est à nouveau trainé en justice par un restaurateur.
Cette fois-ci, l’estocade provient du Waikiki beach, un resto karaoké de Craponne. Selon le Progrès, son propriétaire Patrick Cattari a engagé Maître Gilles Dumont-Latour, l’avocat de Carte blanche « la plus belle chiasse d’après-repas », dixit le Petit Paumé 2009. En cause, les commentaires peu flatteurs dont a été affublé son établissement (page 288). Voilà comment débute la critique incriminée : « Mes aïeux, quelle déchéance ! », ça continue par « me voilà l’unique micro d’un karaoké qui ne paie pas de mine. Les gens qui se pressent autour de moi pour tenter de faire entendre faiblement un filet de leur voix à leurs compères attablés autour des restes d’un repas quelconque ne sont pas antipathiques bien entendu. Mais le service, le choix des musiques et le programme du DJ ne sont pas de mon standing. » Au juge de décider s’il s’agit de simple dénigrement ou de diffamation ?
Ca fait le malin dans la presse pour avoir attaqué en diffamation l’avis du petit paumé, mais croyez vous que l’établissement essaierai de donner tort à cet outil indispensable qu’est le paumé, et quand même temps le videur vous refuse l’entrée tout en sirotant un whisky glace sur sa terrasse, un soir où il n y a qu une pauvre dizaine de client dans un club qui peut en contenir beaucoup plus, et bien on se demande bien qu’il est le Paumé dans cette histoire ! Avant de critiquer et s’afficher comme un opprimé de la critique, et bien on se critique d’abord soi même avant d’ouvrir sa bouche ! Vra
Restera dirigé par une bande de riche étudiant d’école de commerce, sans culture gastronomique. Il restera le petit paumé, des textes et avis ridicule et ne reflétant pas les établissement. Il est drole de voir comment le commentaire tourne autour des gouts musicaux du jeune homme plutot que des plat eux même. Ma foi…