L’immeuble Panzani, dans le sixième, vous connaissez ? Mais si… Édifié en face du parc de la Tête d’Or, il déploie comme un grand albatros blanc
Philippe Lecoq de lyonpeople

Lyon. Face au Musée Guimet, la folle histoire de l’immeuble de Tony Garnier

Histoire des brasseries lyonnaises. La Brasserie du LOU, un essai à transformer
Ouverte en 2017 dans le grand chambardement créé par l’arrivée du LOU Rugby, elle trône au centre du village du Matmut Stadium.

Histoire des brasseries lyonnaises. Le Sud, rayon de soleil de Bellecour
Quand on arrive en ville, avant de passer au ralenti sous le célèbre « Flower Tree » de Jeong Hwa Choi, on aperçoit un bout de sa véranda et son enseigne.

Histoire des brasseries lyonnaises. Le Grand Café des Négociants
Il pourrait s’appeler le « Grand Café de Paris », tant il cousine avec les plus belles adresses second empire de la capitale.

Histoire des brasseries lyonnaises. Brasserie des Monts D’or, the place to be
Ces deux-là ne pouvaient pas se manquer… Il suffit de voir évoluer Thibaut Gaudin entre les tables de « sa » Brasserie des Monts d’Or, pour s’en persuader.

Histoire des brasseries lyonnaises. Le Splendid, la brasserie chic !
Il faut avoir de la moelle pour avoir conservé le nom de cette belle brasserie située à l’angle de la place Jules Ferry et de la place Général Brosset.

Histoire des brasseries lyonnaises. Bocuse ne perd pas le Nord
C’est l’ainée de la fratrie – ou plutôt de la sororie – des Brasseries Bocuse et elle vient de se refaire une beauté salutaire.

L’histoire des brasseries lyonnaises. Vive le République
Le République, en son immeuble cossu fait face sans pâlir au plus beau monument de Lyon conçu au XVIIIe siècle par Jacques-Germain Soufflot.

Histoire des brasseries lyonnaises. L’Ouest, vitrine contemporaine de Bocuse
Bon sang la belle brasserie ! Décalée à Lyon, dans tous les sens du terme. Décalée de Lyon aussi, ou du moins de son centre.

Histoire des brasseries lyonnaises. L’Institution est toujours le Bar américain
Elle – elle pour brasserie – s’est appelée pendant des générations le « Bar Américain », le « BarAm » pour les habitués qui s’y donnaient rendez-vous.
