Texte : Morgan Couturier – Énergique comme à ses plus belles années, Jacqueline Roucou a soufflé sa 80ème bougie. Avec gourmandise cela va de soi.
Encore une bougie de soufflée, encore une année de passée, et comme put l’entonner Patrick Sébastien : beaucoup d’amour et une santé de fer. « Le plus important », aime-t-elle répéter, sans avoir besoin du célèbre animateur, pour conter sa joie. Une touche de mélodie s’il en fallait, alors que Jacqueline Roucou suffit à l’animation, elle, dont le poids des années, ne semble que renforcer sa vitalité.
Alors tant pis si, sur le menu de son anniversaire, le nombre 80 se joignit à la fête, en accompagnant ses incontournables langoustes de Bretagne nappées de caviar ou la succulente selle d’agneau rôti, préparés par son fils Nicolas Pignol et le chef MOF, Jean-Marc Tachet, Jacqueline Roucou n’a rien perdu de son énergie.
La fierté de son père
Dans la quiétude de Dolomieu, en pleine campagne iséroise, la fille de Roger Roucou, l’emblématique chef de La Mère Guy (photo ci-dessus), eut ainsi démontré toute sa poigne, sans jamais dévoiler le secret de ce dynamisme. Son mari, Yves Pages, peut en témoigner, sa poigne de fer n’est pas près de disparaître. Son amour des autres, non plus. Ses invités, les chefs Pierre Orsi et Christian Bourillot en tête, peuvent en témoigner.
Reste que le plus important des convives, était à trouver ailleurs. Dans ce ciel ensoleillé puis étoilé, dans lequel Jacqueline Roucou voulut convier son père, dans un dernier « je t’aime », décoré du « trophée Roger Roucou ». De quoi l’inciter à veiller sur elle. Et lui offrir l’occasion de célébrer bien d’autres rendez-vous gourmands.
À Lyon, dans le Var où la charmante gastronome s’est installée ou ailleurs. Qu’importe, en la compagnie de Jacqueline Roucou, l’instant est toujours délicieux !
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