Texte : Marco Polisson – (Mis à jour) Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. Une nouvelle fois, les écologistes démontrent leur absence de crédibilité dans leur conduite des affaires. Bienvenue dans cet épisode lumineux de la série #Lyon écolo.
Nous vous parlions avant-hier de la nouvelle crise de mégalomanie du président écologiste du Grand Lyon Bruno Bernard qui s’affiche pour la 3ème fois en couverture du magazine métropolitain financé par les contribuables et… diffusé en version papier à 724 000 exemplaires.
Vous avez bien lu : 724 000 exemplaires papier, chaque mois. Ce n’est pas une fake news !
Soit un total très écologique de 14 480 000 pages de papier par mois ! (chaque magazine conçu par l’agence Du bruit au balcon sous la responsabilité éditoriale de Céline Boucharlat faisant 20 pages – source : magazine Ours). Quand on sait que la majorité d’entre elles vont directement à la poubelle…
Et pour bien nous enfoncer dans le crâne le visage blafard de cet inconnu qui nous gouverne, le service communication du Grand Lyon, toujours très inspiré, lui a offert – à nos frais – une campagne de publicité sur 1350 sucettes JC Decaux. Du lourd !
Le prochain slogan pub de Bruno Bernard : « la lumière qui guide vos pas »
Flash in the night. Grosse partie de rigolade en constatant sur le boulevard des Brotteaux qu’il s’agit de panneaux publicitaires lumineux, ceux-là même que les écologistes entendent éradiquer via leur nouveau règlement local de la publicité, que ce soit sur les façades des immeubles ou les bouches de métro, car jugés « agressifs » et trop énergivores (lire le post ci-dessous)
Après l’épisode estival des bucherons de la confluence (102 000 lecteurs) et l’épisode hivernal de la basse-cour installée dans l’Hôtel de Ville, (sans parler des vœux sabotés du petit Grégory), ce nouvel opus pétri de contradiction et d’incompétence est déjà le plus rigolo de la série 2024.
L’année démarre pleins phares pour nos écologistes lyonnais qui n’ont décidément pas la lumière à tous les étages !
Il y a une différence entre les affiches rétro-éclairées et les écrans Led à haute luminosité.
Merci de ne pas être de trop mauvaise foi, cela gâche votre propos.
Le propos n’est pas de mauvaise foi si l’on considère le post de Bruno BERNARD qui n’évoque pas que la notion énergétique, mais la saturation pub et l’agressivité.
La consommation énergétique est la cerise sur le gâteau pour un écolo.
La mauvaise foi n’est elle pas de ne retenir qu’un aspect technique hors contexte global?