Par Morgan Couturier
Lancée officiellement le 12 juin dernier, la dernière berline signée DS Automobiles s’est affichée le temps d’une matinée, dans les jardins de la Maison d’Anthouard. L’occasion pour quelques chanceux, d’admirer les courbes et la finition grand luxe du dénommé DS 9 E-Tense.
Il arrive qu’au travers des éléments, le pouvoir de l’élégance se perçoive plus facilement qu’il ne le laisse imaginer. Ainsi, lorsque à travers l’ombre des cèdres, la lumière vient à s’infiltrer pour frapper la carrosserie du DS 9 E-Tense, il est aisé de reconnaître que le beau requiert art et finesse. Au titre de cette définition, la berline ciglée DS Automobiles peut largement se reconnaître de ces deux notions autant que de nombreux charmes.
La calandre « DS Wings » chère au construc-teur français y est pour beaucoup bien sûr, mais par ses larges mensurations, la dernière-née du groupe ne peut échapper à la curiosité des passants. La belle se fait remarquer, puis scruter. Plus en détails. Alors rapidement, à défaut du diable, ses observateurs y relèvent de précieux ornements, à l’instar de ce sabre en « aluminium guilloché ‘‘Clous de Paris’’ », apposé sur le capot, en hommage aux belles carrosseries d’avant-guerre.
« Un aspect luxe à la Française »
Il n’empêche, le DS 9 E-Tense est bel et bien un exemple de modernité, en témoigne ses équipements et la technologie embarquée dans ce modèle hybride de 225ch et 48 kilomètres d’autonomie en 100% électrique. Et si parfois, la vérité se cache dans la simplicité, la berline française dénote toutefois par le luxe de ses poignées affleurantes ou de sa finition Rivoli+, dans le cadre de ce modèle exposé à La Maison d’Anthouard.
Difficile en effet, de résister à l’intérieur Opera et ses cuirs nappa rouge rubis, qui ne manquent pas le temps d’un instant, de s’accorder avec la maroquinerie Lolo Chatenay de Marlène Carry et les bonnes ondes de Karine Chapochnik, toutes deux ambassadrices historiques de la marque. Reste que le DS 9 E-Tense sait marquer le coup par lui-même, par quelques délicats agréments, que sont des sièges chauffants et massants, ou le perfectionnisme de l’accoudoir arrière, aussi large que pratique. Preuve que l’élégance « ne signifie pas taper dans l’œil, mais rester graver dans les mémoires ». Mission réussie.
Luxe à la française, mais fabriquée en chine…
Tous ceux qui critiquent la fabrication en Chine sont amnésiques où sont sont fabriqués leurs portable,téléphone, télé ,lave vaisselle etc.
Ds9 n’est pas conçue seulement pour le plaisir du conducteur mais pour le confort des passagers.
Bravo DS.