Par Morgan Couturier
Basé à Meyzieu, Helight vient améliorer le confort de ses patients, au gré des signaux lumineux de ses appareils. Entre l’esthétisme et le confort de vie, les bienfaits de la société rhodanienne sur nos cellules semblent sans limite.
Le hasard fait bien les choses, à en croire à ce dicton vieux comme le monde, que l’on ne manque pas de mentionner à chaque événement incongru. Helight n’y déroge pas, tant l’association des deux fondateurs n’a tenu qu’à un fil, à cette lumière jaillie de deux esprits orientés dans la même direction, et ce mot à la connotation barbare : la photobiomodulation.
Baigné depuis longtemps dans les équipements médicaux, Jean-Marc Moncorger en a très vite compris les contours, que son associé Jérôme Grange s’est engagé à démocratiser. « J’ai apporté le coté marketing et le volet industriel », précise ce dernier, conscient de détenir derrière ces équipements lumineux, un réel potentiel médical. « La lumière agit au niveau des cellules, pour les régénérer », poursuit-il, élargissant au passage le champ des possibles de son invention.
Helight agit aussi bien sur le stress, la récupération que sur l’esthétique
Et pour cause, après avoir débuté dans le monde de l’esthétique, Helight oriente aujourd’hui ses lumières sur d’autres secteurs. « On veut démocratiser cette technologie », témoignent les deux associés en référence aux usages multiples de cette dernière, laquelle permet d’être « mieux dans sa tête, mieux dans sa peau et mieux dans son corps ». L’idée fait son chemin, jusqu’à s’établir dans une soixantaine de centres esthétiques, et pousser la porte des entreprises.
« Dix minutes suffisent pour diminuer le stress et renforcer la concentration », assure le chef d’entreprise majolan. De quoi accroître les performances, un concept partagé par Helight, dont les produits bénéficient aujourd’hui du soutien des médecins, lesquels voient en ces lumières, un soin de support idéal aux rugueux traitements cancéreux. Une première étape avant de basculer sur le marché du grand public ? La réflexion tient la route et la lumière est, elle, au bout du chemin.
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