Un an après son arrivée fracassante, l'équipe suisse de Cote Genève qui avait repris Cote Lyon plie bagage. Laissant derrière elle un champ de ruines.
Flash-back. Olivier Cerdan (photo ci-dessus) dirige Cote Genève depuis quelques années. Ayant bien réussi son implantation chez nos amis helvétiques et fort de ce succès, il décide donc de reprendre Cote Lyon, un titre qui se porte au plus mal après le départ d'Isabelle Salomon. Il négocie alors avec Claude-Henri Menu, propriétaire des éditions Cote – qui lui accorde déjà une licence sur Genève – de lui racheter celle de Lyon. Olivier Cerdan n'ayant pas la possibilité de gérer en France, il place son père Roger Cerdan comme gérant de la SARL lyonnaise Manufacture d'édition dans laquelle sont associés Jean-Christophe Breuil, le tombeur de Smoby (photo ci-dessous), et notre ami Yann Bailly.
Les premiers mois de cette dream-team de choc sont prometteurs, le magazine reprend de la visibilité, les annonceurs reviennent, on organise même une soirée avec les commerçants mais la trésorerie reste très tendue. Une recapitalisation est nécessaire en juillet 2009 et les clients tardent à payer le support. En novembre 2009, les choses basculent définitivement, Yann Bailly est brutalement mis en disgrâce, pour de sombres histoires dont l'accusent ses associés. Mais c'est finalement Olivier Cerdan qui sera convoqué à deux reprises à l'Hôtel de police de Lyon pour des importations de montres d'occasion. La police souhaitant connaître la provenance de ses achats. Il vrai que celui-ci est un passionné de montres et qu'il a la réputation de faire des bonnes affaires dans les ventes aux enchères genevoises.
Yala, comme Layalina Magazine par exemple…?
ayayayayaya avant les youyouyouyouy ? je dirais hihihihi avant hohohohoh le nouveau magazine de Quick ? des fêtes saines sans alcool ni cochonailles… vive la france et bienvenue à Lyon !
Tiens donc. Comme c’est étonnant. Olivier Cerdan, fort de son succès en Suisse? Monsieur Cerdan est connu en Suisse comme un magouilleur. Censure des articles qui parlent de la politique Israélienne, plagiat d’articles entier au stylo scanner:-), petites magouilles à tous les étages, les disparitions vers la fin du mois et et les salaires non versésun vrai sketche). Olivier Cerdan a perdu devant tous les employé aux prud’hommes. N’a jamais payé malgré sa fortune. Un bien brave homme!
Après avoir cottoyer O. Cerdan, je confirme sa réputation de magouilleur, voire de malhonnete envers ses employés. Revers de la médaille avec cette histoire de montre et de faillite ? Il y aurait-il une justice ? Peut-être !
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tocard de 1ere