Par Christophe Magnette
Et de Quatre ! Après la gestion, le syndic, la location, la Régie Bellecour profite de cette nouvelle année pour créer un quatrième département, celui de la transaction. Une évidence pour Hervé Boffy et son équipe, unis comme les cinq doigts de la main !
« La transition numérique est un passage obligé, à la fois pour (faire) gagner du temps et faire montre d’une adaptabilité et d’une réactivité à toute épreuve. Pourtant nous revendiquons une approche humaine de notre métier ; mieux, nous la cultivons ! Dans un monde ultra-connecté, la relation physique avec autrui demeure plus que jamais d’actualité. D’où un message auprès de nos clients : « Nous vous proposons les mêmes services que nos confrères, mais venez nous voir ! » Hervé Boffy, PDG-fondateur de la Régie Bellecour en octobre 2012, vingt-cinq années dans l’immobilier, n’est pas un professionnel comme les autres : discours et posture diffèrent.
“Nous sommes une petite équipe de cinq personnes, voilà notre force ! Nous sommes sur le terrain en contact avec nos clients.” Tellement en osmose qu’Hervé Boffy a décidé de créer un département Transactions et d’en confier les rênes à Odile Matzuzzy qui comptabilise le même nombre d’années d’expérience dans la transaction immobilière. “Nous ambitionnons d’aider nos clients et nos propriétaires bailleurs, co-propriétaires désireux d’investir et qui souvent manquent de temps. Nous avons élaboré le département Transaction avec le même ADN que les autres pôles de la Régie Bellecour, en souhaitant miser sur la dimension humaine. Être sollicités en amont, travailler avec des mandats de recherche (sur tous secteurs), tel est le modèle auquel nous aspirons”, souligne Odile Matzuzzy.
Accompagnement et services personnalisés
Un son de cloche partagé par Hervé Boffy qui met en exergue “les notions d’accompagnement et de services personnalisés” pour expliquer le développement organique naturel d’une structure qui a su se faire une place à part dans le Landerneau immobilier lyonnais. Adepte d’une discrétion toute lyonnaise, c’est pourtant en Calade, dans le restaurant paternel que le jeune Hervé s’est frotté d’abord au service puis à autrui, “mais la restauration n’était pas pour moi, l’immobilier, si !” Un atavisme qu’il doit donc à un grand-père connu du côté de Villefranche sur Saône, Gaston Boffy, à la tête d’une régie éponyme dans les années soixante-dix.
Le mur des souvenirs se dressant derrière son bureau en atteste : la dimension patrimoniale et la pierre signifient bien plus que de simples contrats pour un homme qui assume de “travailler à l’ancienne tout en capitalisant sur les nouvelles technologies.” Un paradoxe payant pour la Régie Bellecour, doux compromis entre les postures d’hier et les attentes d’aujourd’hui. Une promesse qui mérite d’être vécue ! Allez les voir !
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