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Le
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Droit de réponse Gwendal Pezerat
Suite à la parution de la chronique consacrée au
Gala de la Croix-Rouge (voir
reportage),
nous avons reçu de Gwendal Pezerat le courrier
ci-dessous.
Bonjour Françoise (si je puis me permettre ?)
C'est avec beaucoup d'intérêt, que j'ai lu votre
article: Gala de la Croix-Rouge dans lyonpeople n° 40. Comme j'ai cru
percevoir quelques sous-entendus et quelques
"pics" m'étant particulièrement adressés,
permettez-moi de vous apporter certaines
précisions quant aux raisons de mon absence à ce
gala.
Est-il nécessaire de préciser que je n'avais pas
participer aux rencontres et aux enregistrements
préalables, pour ensuite être absent le jour J.
J'étais, en effet dans les glaces d'Helsinki la
veille pour un gala, et devais être le lendemain
en Autriche. J'avais donc chargé mon agent de
réserver mes billets en conséquence. Lorsque je
me suis présenté à l'embarquement, il s'est
avéré que le billet électronique à retirer au
bureau d'enregistrement avait été réservé pour
le lendemain. J'ai passé 5 heures à l'aéroport
en vaines discussions pour essayer de le faire
changer, de trouver un autre vol, disant que
j'étais expressément attendu à Lyon. J'en avais
d'ailleurs informé Carole Dufour par téléphone.
Et croyez moi, ce n'est pas de gaîté de cur que
j'ai repris un taxi pour aller retrouver la
troupe. J'en ai été le premier désolé, mais je
suis ravi de savoir que le gala n'a pas souffert
de mon absence (excusez moi... je me laisse
aller à un peu d'amertume...). Peut-être est-il
un peu tard, mais comme apparemment, Carole n'a
pas présenté mes excuses et les raisons de mon
absence, pourrais-je compter sur vous pour les
faire parvenir à qui de droit, en particulier à
messieurs Brochier, Lombard et Louville, dont je
n'ai pas les coordonnées ainsi que pour me
donner un droit de réponse.
Soyez certaine que je n'ai pas pour habitude de
ne pas honorer mes promesses surtout pour des
causes sociales et que j'essaie toujours de
répondre présent lorsque je le peux. En plus,
j'adore chanter !!! Après cette petite mise au
point qu'il me tenait de faire, je vous prie de
recevoir, Mme Françoise Petit, mes sincères
salutations.
Gwendal Peizerat, le 3 mars 2005
A
suivre, Un autre éclairage sur le fiasco
du 8 décembre
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