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Droit de réponse de Jean-Paul Lucet

 

Suite à l'interrogatoire de Victor Bosch, nous avons reçu de l'ancien directeur du Théâtre des Célestins le courrier ci-dessous. Nous le reproduisons in extenso.

 

 

«Monsieur le Directeur de la publication,

 

Je conteste en tous points les affirmations de Monsieur Victor Bosch à mon encontre.

 

En effet, lorsque ce dernier prétend que je suis venu le voir en lui disant « j'ai les droits du Petit Prince », cette affirmation est complètement fausse.

 

Ainsi, il est aisé de constater la contradiction des propos tenus par Monsieur Victor Bosch puisqu'il énonce, avant cette affirmation mensongère, que je suis venu le voir en lui disant « qu'il y avait moyen d'avoir les droits » ce qui démontre à l'évidence sa parfaite mauvaise foi.

 

Or, j'ai effectivement contacté Monsieur Victor Bosch, mais en vue de lui soumettre mon projet d'adaptation musicale « Le Petit Prince » mais je n'ai, à aucun moment, affirmé à ce dernier que j'en détenais les droits.

 

Enfin, lorsque Monsieur Victor Bosch prétend que la procédure judiciaire que j'ai entamée, à la suite de mon éviction injustifiée du projet et après avoir appréhendé mon travail, « c'est n'importe quoi ! » et « il ne peut pas gagner, c'est impossible ! », il démontre une fois encore sa mauvaise foi et son manque de respect total envers l'institution judiciaire.

 

La procédure que j'ai entamée vise, en effet, à me faire reconnaître la paternité de l'adaptation musicale du « Petit Prince » que j'ai initiée seul.

 

Je m'en remets à ce titre à la sagesse de la juridiction saisie seule compétente pour apprécier la réalité de mon travail.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur de la publication, l'expression de mes salutations distinguées.

 

Jean-Paul Lucet, le 4 juin 2004 »

 


A suivre, Droit de réponse du Charle's Inn
 

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