« Des bobos qui préfèrent prendre le métro où l’air est dix fois plus chargé en particules fines qu’à l’extérieur, qui niquent leurs poumons en fumant des cigarettes et des joints, se maquillent et se teignent les cheveux, portent des vêtements qui comportent aussi de la teinture, se défoncent le foie en buvant de l’alcool, portent des chaussures en cuir d’animaux morts ou cuir synthétique (plastique), qui utilisent des ordinateurs et des smartphones, se chauffent à l’électrique ou au gaz comme tout le monde… mais ne supportent pas les voitures qui représentent à peine 15% de la pollution de l’air et voudraient que toute notre vie soit organisée autour du vélo ! Finalement ils sont rigolos ces écolos ! »
Hervé, à propos des nouvelles pistes cyclables du cours Vitton
Pistes cyclables du cours Vitton. Écolos en dépit du bon sens
Marco Polisson
Rédacteur en chef
Co-fondateur du magazine.
En charge de la rédaction et responsable des partenariats.
Délégué à la protection des données RGPD
2 Commentaires
Soumettre un commentaire
Cliquez ici pour SIGNALER UN ABUS
Vous pouvez nous adresser un email afin de signaler un contenu. Merci de préciser l’adresse de la page dans votre email. Votre signalement sera pris en compte au plus tôt.
Vous pouvez nous adresser un email afin de signaler un contenu. Merci de préciser l’adresse de la page dans votre email. Votre signalement sera pris en compte au plus tôt.
Il faut faire quelque chose la ville est devenue catastophique, là où la circulation était normale maintenant c’est devenue catastrophique. Il faut changer de Mairie
Perso j’ai vite abandonné la bagnole dans le centre-ville au profit du vélo quand j’avais une MX5. Je ne suis pas un bobo écolo mais juste une personne pragmatique : j’en avait marre d’être dans les bouchons et tourner en rond pour trouver une place quand le vélo me divisait par 2 voir 3 le temps total de déplacement.
C’était en 2008, bien avant la plupart des pistes cyclables…
Pour la pollution, c’est pareil, la voiture c’est 5x plus de pollution dans l’habitacle que l’extérieur, autant rester à vélo.