Par Marc Polisson
Drôle de saison. Le vent a soufflé en rafale à Lyon, atteignant des pointes de 100 kms/heure. Les pompiers ont multiplié les interventions dont une – emblématique – à la Confluence.
Le nouveau quartier du Confluent a-t-il été construit à la va-vite ? Les matériaux utilisés sont-ils de mauvaise qualité ? Les finitions ont-elles été bâclées ? C’est par la positive que répondent les professionnels de la transaction immobilière en off (c’est-à-dire sous couvert d’anonymat).
Dernier exemple en date, cette plaque métallique grise de 2m x 0,50m recouvrant le Monolithe, arrachée sous l’effet du vent, mercredi à l’heure du déjeuner. Elle a tout simplement entamé un vol plané et traversé la rue pour venir s’encastrer au premier étage du Purple, sur le balcon d’un patron d’un appartement occupé par un patron d’établissement de nuit.
Un couperet qui n’a heureusement rien rencontré lors de son vol mais qui aurait pu s’avérer tragique guillotine. Ce n’est pas la première fois qu’un incident intervient sur cet immeuble sis contre la darse. Comme chez ses voisins d’en face. Début avril, c’est l’enseigne du Novotel qui s’était envolée, avant de s’écraser au sol, sans faire de victime.
Même sans tempete Confluence est la maison des courants d’air.Un apresmidi au centre commercial de confluence c’est le rhume garanti.
les constructeurs d’aujourd’hui , tous les memes , travail bacle , sous traite et execute par des non profesionnels Il faut revoir d’urgence l’apprentissage srieux , sur 3 ans les manoeuvres doivent faire serieusement leur travail de manoeuvre avec de vrais chefs de chantier