Par Léna Bouillard
Tout le monde la veut, mais peu d’entre nous se risquent à la porter, de peur de perdre toute crédibilité. Voici quelques clés pour aborder cette tendance régressive.
La nouvelle pièce phare de l’été est déjà dans tous les dressings. Mais comment l’adopter sans diviser son âge par deux ? Faut-il succomber à l’appel de la salopette, quitte à menacer sa sexy attitude ? Pas évident de se familiariser avec cette nouvelle tendance, qu’on avait volontairement reléguée dans un coin de notre cerveau depuis les années 1980-1990. Il s’agit donc d’en dénicher une qui nous ressemble, short ou pantalon, en jean, imprimée, ou même en soie.
Pour les nostalgiques, on opte pour la version jean et courte, mais on fuit les baskets et la petite casquette, au risque de sombrer du côté Mario Bross de la force. Au contraire, on lui donne un côté sophistiqué avec des chaussures féminines et un joli top, pour contrer l’effet déménageur du dimanche. Pour celles qui choisiraient la version imprimée, colorée ou fleurie, mieux vaut rester sobre. Une chemise blanche ou noire pour calmer le jeu conviendra très bien. Pour le soir, la salopette se porte longue et en soie, avec des talons vertigineux et une pochette brillante ou colorée.
Ma version de la salopette :
La version short, en jean qui plus est, ce n’était pas pour moi. J’ai malgré tout choisi cette salopette bleu clair, afin de l’associer à une chemise blanche et des ballerines roses, pour rester dans les tons pastels que j’affectionne particulièrement. Toute ressemblance avec un chamallow s’avèrerait fortuite. Un gilet rose, qui rappelle les chaussures, un petit collier de perles et le tour est joué !
Retrouvez d’autres photos de la tenue sur mon blog : lenascameo.blogspot.fr
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