Plus de bonnes adresses, pour le plaisir des gourmands… ©Mémoire des Arts
Par Alain Vollerin, guide Bien Manger à Lyon
L’Arsenic, vendredi 18 septembre à l’heure du mâchon. En salle, Mathieu Lher avait bien organisé l’espace, pour accueillir la quarantaine d’invités sélectionnés avec soin.
Parmi eux : André Chouvin, l’un des plus créatifs des chefs de notre région avec Christophe Roure et Christian Têtedoie, avait fait le voyage en compagnie de Dominique, depuis Joux et son Tilia généreux, Pierre Vion, président incontestable du Conseil des Prud’hommes de Lyon, alors que gronde la réforme du Code du Travail voulue par Emmanuel Macron, ministre de l’économie qui multiplie les « macronneries » était parfaitement serein, Hervé Brun démontrait que les métiers d’art étaient bien défendus dans le 6e arrondissement, Richard Martinez distributeur de presse vigilant apporta son certificat de bonne et due forme à ce nouveau numéro de Bien Manger à Lyon. Fidèle de nos initiatives, Pascal Bonhomme créateur des sublimes quenelles qui font sa renommée, n’avait hélas, pu se libérer. Richard et Maxence Rissoan porteurs de l’image d’Allianz, ressemblaient à des sponsors heureux, tout en ne parvenant pas à s’expliquer l’absence de Jean-Patrick Henrion. Pierre Orsi s’était excusé, très pris par l’organisation du 40e anniversaire de son célèbre restaurant.
Damien Voutay préparait une vente prochaine d’objets d’art. Yves Rivoiron prolongeait à sa manière la présence de son fils Julien, dans cet établissement de création où, il fit une fois encore la preuve de son talent. Nicolo et Maria étaient joyeux comme des Italiens justement fiers de leur rapide réussite. Eric et Arlette Hugon symbolisaient l’union d’une mère et de son fils pour la réussite d’une haute conception de la cuisine de bouchon. Guillaume Duvert qui vient de gagner les concessions des restaurants du Musée Saint-Pierre et du Musée Gadagne, et qui prépare le 30e anniversaire du Passage, était venu en voisin. Jean Robert président des Eaux de Saint-Géron était fier et avec raison de ses séduisantes bouteilles. Patrice Rouget représentait inopinément les Francs-Mâchons, une fois n’est pas coutume, Camille Bocobza accompagnait les Gourmandises de Lily, Cyrille Roméro fait désormais la cuisine héritée de Paul Bocuse, par l’intermédiaire de Roger Jaloux, au 1838 de Dominique Casagrande qui discutait gentiment football avec Félix Gagnaire patron de Sauf Imprévu, et stéphanois dans l’âme.
Alexis Lauriac avait préparé quelques réjouissantes agapes avec Simon Huet, second de Christian Têtedoie aux Terrasses de l’Antiquaille. Le Moulin à Vent de Jean-Paul Dubost, et son blanc intelligemment nommé Beau Jus, avaient libéré les esprits. Laurent Banbanaste, avocat rompu aux missions les plus exigeantes, coincé dans les embouteillages ne parvint pas à l’heure, pour partager ce moment de fraternité. Nous avons déploré l’absence de Magali Treillard partie dans un salon mondial des vins, à Miami. La Crise n’est pas parvenue à nous empêcher de poursuivre notre travail de promotion d’une cuisine simple et saine, faite avec de nobles produits proposés par Voie Verte, Eric Cecconello de Fraîcheur et Qualité, ou, par Ma Ferme en Ville. Surtout, n’oubliez pas les bons produits charcutiers et traiteurs de Jean-François Moinon, et les viandes toutes de première authenticité de Didier Dugelay dont son Flanchet utilisé par Arlette Hugon pour préparer sa divine blanquette de veau. La peinture demeurant une de nos saillantes préoccupations, nous avons une chaleureuse pensée pour nos amis de l’Hivernal, et du salon des Aquarellistes. Nous remercions encore une fois, Jean-Paul Dubost, fier de son Beaujolais natal, et pourvoyeur d’un breuvage apprécié de tous nos invités…
Légende photo
Damien Voutay (expert), Eric et Arlette Hugon (Chez Hugon et La Hugonnière), Jean Robert (Président des Eaux de St Géron), Guillaume Duvert ( Le Passage), Alain Vollerin, Thierry Cochet (Voie Verte), Patrice Rouget (Francs-Mâchons), Pierre Vion, Camille Bocobza (Les Gourmandises de Lily), Hervé Brun (adjoint mairie du 6e), Christian Têtedoie, Cyrille Romero (chef du 1838 à Brignais), Mme Gagnaire (Sauf imprévu), Dominique Casagrande (PDG du 1838), Félix Gagnaire (Sauf imprévu), Maxence Rissoan (Alliantz). Devant à droite : Dominique (maître d’hôtel Le Tilia), André Chouvin (chef du Tilia à Joux), Maria et Nicolo (Le Vivaldi et Solo Pizza), Richard Rissoan (Alliantz). Assis : Mathieu Lher et Alexis Lauriac (L’Arsenic).
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