L'ex-épouse de Nicolas Sarkozy, estime "avoir bien agi" et "assumer totalement" ce qu'elle a "fait", en évoquant son bref passage à l'Elysée dans un entretien exclusif à l'édition italienne du magazine américain Vanity Fair qui parait mercredi.
"J'ai un grand défaut, je suis incapable de vivre dans le compromis et le mensonge. La vie de première dame qui m'avait été offerte, celle dont toutes les femmes rêvent, n'était pas pour moi. J'avais l'impression de vivre dans un théâtre, dans une fiction", raconte Cécilia, qui a épousé fin mars le publicitaire Richard Attias. Questionnée sur le fait de savoir si ce refus du mensonge était plus important que "la raison d'Etat", Mme Attias avoue s'être "posée la question tant de fois. Et c'est pour cela que je suis retournée avec mon ex-mari. On m'a tellement reproché de ne pas m'être sacrifiée pour mon pays", souligne-t-elle. "J'assume totalement la responsabilité de ce que j'ai fait, je ne demande pas qu'on me félicite ou qu'on m'aime, je demande seulement qu'on me respecte", souligne Cécilia Attias à Vanity Fair Italia. "Je sais que j'ai bien agi et je souhaite à mon ex-mari d'être heureux dans son nouveau mariage", a-t-elle ajouté à propos des noces célébrées le 2 février entre Nicolas Sarkozy et Carla Bruni.
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