Une semaine après le lancement d’une souscription publique, la présidente des Atelières a annoncé sur RTL avoir déjà récolté 40 000 euros. Muriel Pernin assure également avoir reçu « pas mal de propositions d’investisseurs, plutôt des Français (…) autour de 150.000 euros. » Menacée un temps de liquidation, lâchée par les banques, la société coopérative d’intérêt collectif qui emploie, entre autres, des anciennes ouvrières-corsetières de la maison Lejaby a finalement trouvé un modus operandi après une réunion avec les acteurs du dossier au ministère des Finances, jeudi 6 mars. La souscription publique doit rapporter de 100.000 à 150.000 euros, condition nécessaire pour rassurer les banques et les faire abonder au projet.
Les Atelières ont déjà levé 40.000 euros
Une semaine après le lancement d’une souscription publique, la présidente des Atelières a annoncé sur RTL avoir déjà récolté 40 000 euros. Muriel Pernin assure également avoir reçu « pas mal de propositions d’investisseurs, plutôt des Français (…) autour de 150.000 euros. »
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