Fan invétéré de films de gangsters, Arnaud Thomas convertit chaque année de plus en plus de Lyonnais à cet univers du 7e art. Pour l’ouverture de la 3e édition des Mauvais Gones, son gang a pris le contrôle du cinéma UGC Confluence.
Sous ses faux airs de mafieux, Arnaud Thomas n’en reste pas moins un grand émotif. Le créateur du festival « Les Mauvais Gones » a beau s’inspirer des plus grands gangsters du 7e art, il ne peut encore retirer cette larme, incrustée au coin de l’œil, à l’heure de s’exprimer devant son public, ce gang de cinéphiles venus se joindre à sa passion. Il faut dire que depuis ses premiers thrillers, admirés en compagnie de son père, le Professeur n’a cessé de prendre du galon, jusqu’à s’imposer en caïd du grand banditisme, capable de remplir une salle entière, par cette seule passion du cinéma.
« Le festival prend de plus en plus d’ampleur », a souligné Franck Chapon, le directeur d’UGC.
Nul besoin de mettre la pression, à la façon des Affranchis de Martin Scorsese, -à l’affiche de la première soirée de cette 3e édition des Mauvais Gones -, la salle s’est mise au pli de cette vieille canaille, dans le sillage de quelques acteurs bien connus du grand écran, à l’instar de Franck Adrien, Arnaud Mizzon ou du parrain de cet opus 2019, le Marseillais Moussa Maaskri (ci-dessus avec Fabrice Tiozzo et Kader Marouf). Mais le travail n’est pas fini. Prophète en son pays, Arnaud Thomas entend s’élever au rang de légende. Logique en ce sens, qu’Un Prophète et Legend, soient à l’affiche des soirs suivants. À commencer par ce jeudi 4 avril. Les bandits n’attendent pas !
La Tribu des Gones. Gone un jour, Gone toujours! Établie rue Saint-Jean, la société créée en 2006 poursuit avec ambition sa création de produits vantant les mérites de la capitale des Gaules. ...
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