La direction de LCL représentée par Pascal Pétris, Georges Sébille et Jean-Luc Copéret permet au critique d’art Alain Vollerin de démontrer, et cela n’avait jamais été fait aussi clairement avant lui, comment Lyon était devenue au XIXe siècle, la seconde ville de France en matière de peinture, après Paris.
Et comment, elle avait accueilli, après quatre ans de guerre mondiale, la Modernité cézannienne par l’irruption du groupe Ziniar, en 1920. Ce vernissage fut l’occasion de présenter le livre « l’Age d’Or » où figure en bonne place Emilie Charmy qui fut soutenue dès le début de sa carrière par le comte Etienne de Jouvencel. Alain Vollerin décrit la volonté de Napoléon 1er d’encourager la formation d’artisans peintres pour les Fabriques de soieries, provoquant la réouverture de l’école des beaux-arts, en 1807, après le sinistre épisode du Siège de Lyon. L’école de fleurs lyonnaise fut alors renommée. On venait de toute l’Europe pour admirer au musée les compositions d’Augustin Thierriat, d’Antoine Berjon, de Simon Saint-Jean, etc… Une exposition inédite et magistrale d’œuvres, souvent en grands formats, prêtées par un collectionneur qui tient à l’anonymat.
Jusqu’au 29 juin 2012
LCL- Crédit Lyonnais – 18, rue de la République – Lyon 2e
Métro et Parking Cordeliers
Entrée libre du lundi au vendredi de 9h à 17h
si votre ramage se rapporte à votre plumage vous êtes le plus puant des critiqueux régionalistes (région est un grand mot pour vous) de ce monde… Ah oui, c’est vrai, vous avez écrit des lîîîvres vous! (oui, mais à compte d’auteur ou de copains). La méchanceté, rien de plus simple, de plus vil, de plus bas, preuve de bassesse intellectuelle. Il en est de même pour celui qui étale sa confiture dans ses articles pour être certain qu’on pense de lui: « Ooooh, un puits de savoir, qu’il est brillant (comme la graisse au soleil) ». L’onanisme et les vielles blondes vous plaisent tant que ça? Enfin,