Par Alain Vollerin
Odette Rey-Coquais est une figure de la peinture lyonnaise. Fille de Jean Perret, membre, comme lui, de la Société Lyonnaise des Beaux-arts, elle joue au sein de cette vénérable société un rôle non négligeable depuis plusieurs années.
Son mari, Michel Rey-Coquais assume avec efficacité et une certaine sensibilité la tâche de trésorier. Saluons au passage cette famille de bijoutier qui joua un rôle de pionnier dans le monde social tentant en innovant d'adoucir le rapport entre le patronat et le monde ouvrier. Mais, revenons à la peinture où Odette Rey-Coquais nous devons le dire, n'est jamais aussi touchante que lorsqu'elle reste fidèle à l'esprit de paysagiste inspiré de son père Jean Perret. Pourquoi vouloir faire plus ? Ou mieux, ou différent ? Pourquoi n'y aurait-il pas dans cette famille une tradition du paysagisme bien ressenti, bien exprimé avec des coloris choisis et propres à leurs caractères bien trempés. Car, comme son père, Odette Rey-Coquais n'hésite pas. Elle affirme une nature déterminée, parfois débordée par son esprit joyeux, exubérant mais toujours attentif aux autres, au monde dans ses aspects les plus colorés. Dorothée Merle qui a choisi comme nom d'artiste Dorot, peint des gourmandises. Ses tableaux les plus spectaculaires, les plus sensibles, traitent de la pâtisserie à l'exemple de ses somptueux macarons. L'horaire des vernissages le dimanche a changé. Il est maintenant fixé à 15 heures. Le jour de notre visite les rues étaient noires de monde. On était venu voir les multiples crèches réparties dans les ruelles de ce vénérable village médiéval.
Jusqu'au 2 janvier 2010
Galerie Lionnes de Kaolin
Oingt en Beaujolais
Je regrette, et il en est navrant de constater,que Monsieur VALLERIN, ne se focalise que sur la « patisserie » de Madame DORO T. Cette artiste, que je sache, se doit d’être appréciée à sa juste valeur, car Elle ne peint pas que des maccarons. Vous auriez pû, cher monsieur, pour vous montrer un impartial connaisseur, parler des autres « types » de tableaux, dont par exemple, celui qui est son plus grand par elle exposé,et le plus beau à mon sens. Madame DORO T aurait-elle servir de faire -valoir à Madame Rey-Coquais ? ?
En effet M. Volerin, le travail de Doro.T est superbe, le Grand Panier de la photo le démontre. Les gourmandises ? non, une toile seulement. Les autres témoignent de la Provence telle qu’elle est vraiment. De pierres sèches, de murs lézardés, d’objets aux couleurs ocres, douces, pleines de lumière. Mais Doro.T est déjà tellement connue à travers la France, vue de beaux Salons, éditée dans Univers des Arts, que vous n’avez pas éprouvé le besoin de parler d’elle ! son site est bien plus parlant.. Il vous a semblé plus important de parler de la famille Rey-Coquais… chacun sa vision des choses.
N’y avait-il dans cette galerie que la peinture de Mme Rey-Coquais ? Il me semble que DOROTHEE MERLE occupait la pièce d’à côté avec de magnifiques peintures autres que des macarons…. Cette belle anse de panier sur un très grand format par exemple… Mais peut-être ce Monsieur est-il aveuglé par Madame REY-COQUET et sa peinture « violente » ? Un autre commentaire concernant cette Expo, Monsieur, serait de bon ton !….. Tout est possible !
Trés belle exposition mais DoroT n’est pas présentée dans votre article comme il le devrait.La patisserie même si cette toile est trés belle et loin d’être le sujet principal de l’expo.Aviez-vous vu,Monsieur,que plusieurs toiles étaient présentées dans une salle à deux pas ? Je profite pour féliciter cette artiste ( avec un grand A) pour tout le travail produit et le courage nécéssaire pour percer dans un monde qui semble encore fermé…..
Oui, Salon des artistes français de 1863 Et Mr Vollerin, même aujourd’hui, ne vaut rien. A part parler de lui-même, de ce qu’il a fait, écrit et de ses continuelles références et amis. Mais V est un homme pressé, un champignon, comme le décrirait Saint-Exupéry Prétentieux petit vaut-le-rien…
Nous en apprenons chaque jour sur les artistes.