Un
nouveau paradis de la petite culotte
Plus
d'un millier d'invités triés sur le volet pour l'inauguration en
grandes pompes du nouveau navire-amiral d'Etam en région lyonnaise. Gégé
était bien sûr de la partie. Le premier magistrat de la ville a profité
de l'occasion pour faire du shopping pour Caroline.
Le
groupe Etam, déjà bien implanté dans la presqu'île inaugurait
lundi 23 avril un espace « nouvelle géné-ration », entièrement
dédié à l'univers de la femme. Ce magasin de 1000 m2, qui prend la
place de La Redoute, adopte le nouveau concept créé par le
cabinet d'architectes londoniens Hosker, Moore & Kent, qui a
aussi conçu et réalisé les boutiques Valentino et Moschino.
Plus rien à voir avec l'ancien magasin du vépéciste. Tout a été
entièrement transformé et relooké, l'escalier central démonté (la
rampe a été restituée au propriétaire du bâtiment) et une large
ouverture créée sur la rue de la république.
Si
Pierre Melchior (ci-contre en
compagnie de Jacques Marcout) est
fort prolixe pour évoquer les projets et la démarche de son groupe, en
revanche c'est une tombe dès que l'on évoque les espèces sonnantes
et trébuchantes.
Pas plus de chance du côté d'Hélène
Prazowski, miss développement d'Etam
- en charge des nouvelles implantations - qui joue les vierges effarouchées.
« Elle se la pète un peu ! » me glisse Felipe de voicilyon.com.
Selon toute vraisemblance, le groupe Etam a dû surenchérir pour
remporter cet emplacement exceptionnel. De nombreuses enseignes étaient
sur les rangs. La transaction porterait sur plusieurs dizaines de millions
de F.
La
jet set commerçante environnante avait fait le déplacement et la quasi
totalité des luxueuses boutiques du triangle d'or étaient représentées.
A cela vous pouviez ajouter les nouveaux locataires de l'hôtel de ville
- dont Gégé, très galant avec
les mannequins -et les habitués des pince fesses, tout heureux de se
retrouver après le défilé entre petits fours (de la maison Michéa)
et champagne, après une longue période d'abstinence. Serait-ce dû à
un carême prolongé ? Il faut en effet remarquer que les belles soirées
sont en nette régression depuis le début du millénaire.
C'est
la raison pour laquelle, il était hors de question de rater cette soirée-là.
A la plus grande joie d'Eric Limoncini et d'Isabelle Petit (San
Marco Organisation), promus GO de cette manifestation réussie qui
laisse présager un avenir serein à la nouvelle enseigne managée par le
duo Baillet-Piquet.
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