. P E O P L E ... n e w s
.

LES GENS
LE CARNET MONDAIN
BUSINESS NEWS
WEBCAMS
DERNIERE MINUTE
LES ARCHIVES

. P E O P L E ... s o r t i e
. LES EXPOS
LES SPECTACLES
AGENDA PEOPLE
VOYAGES ET WEEK-END
LES FETES
LE SHOPPING
. P E O P L E ... c l u b
.

ANNONCES

FORUM DE DISCUSSION

COURRIER  LECTEURS
OL PEOPLE
CORRESPONDANCE
MAILING LIST

. P E O P L E ... a n n u a i r e
. BARS & RESTAURANTS
CARNET D'ADRESSES
LYON LA NUIT
JOURNAUX PERIODIQUES
GUIDES DE LYON
. P E O P L E ... p r e s s e
.

REVUE DE PRESSE
LES RUMEURS

JUSTIN CALIXTE
INTERROGATOIRES KGB
LES GAGS

 

P E O P L E ... n e w s
/ BUSINESS NEWS

8 mars 2001


La petite Françoise à la Une... 

 

 

 

 

 

 













De notre correspondante Anne-Charlotte Anav

 

Françoise Petit fait partie de ces  femmes débordantes d'énergie qui font du sport à domicile, des articles pour le Figaro Rhône-Alpes et même des livres en hommage aux centenaires d'un petit village (Colombier, vous connaissez ?).

 

Partisane de la philosophie du« tout ou rien », Françoise Petit est tout simplement intrigante ! « Magie et tolérance » sont les pièces maîtresses que Françoise recherche dans « le théâtre vivant » que lui inspire la vie. Car « on a toujours l'espoir de rencontrer quelqu'un de différent » quand on se lève le matin. Sa quête prend forme dès la nuit tombée et a généralement pour décor les pince-fesses les plus huppés de la ville. Au point que Lyon Capitale la définit « comme une mondaine greffée à sa flûte de champagne ». « Je suis aussi une gambergeuse ! » s'exclame-t-elle quand on lui cite cette mémorable prose. « Cette image me fait rire et on peut être Proust et aimer le champagne ! » poursuit-elle, aussi souriante que possible.

 

Et si elle s'intègre parfaitement dans le cadre « people » lyonnais, elle sait également s'introduire dans l'authenticité du petit village sujet de son prochain livre. L'essentiel étant de savoir créer une conversation avec chaque personne, et quand on la voit « reine » des soirées les plus en vue, plus resplendissante que jamais, on imagine que le dialogue s'installe rapidement. « Se costumer socialement », ça la connaît et « je ne veux pas être une plante verte » (arrosée de champagne !) renchérit-elle, aussi sûre que l'envie d'exister la motive.

 

Dans ce petit monde qu'elle se crée au fil des années, ses idéaux un peu utopiques d'alchimie ente les gens, se concré-tisent malgré tout en un cercle relationnel bien réel. Des amis à ne plus savoir qu'en faire, un ancien amour brûlant, un fils adopté morale-ment, une fille épanouie (autant que sa mère, on lui souhaite !), et « un homme, un vrai » actuellement (indice : nordique !) ...que demande le peuple !

 

Cette « folle de marche » semble avoir trouver son « biorythme » de vie lyonnaise . Et même si elle se considère « à mi-vie », la jeunesse accompagne toujours sa 51ème bougie. Une jeunesse « qu'elle aura construit à chaque étape de sa vie ».

 

Originaire du sud de la France, elle est arrivée à Lyon... par amour ! Chef d'édition au Méridional d'Avignon, les 30 années de journalisme qui se profilent derrière elle ont commencé par des piges pendant les vacances scolaires. Autodidacte de l'écriture, elle a couvert tous les sujets : de la politique à la culture en passant par l'économie mais c'est la presse quotidienne qui aura été « la plus formatrice» pour elle. Mais ce n'est pas parce qu'elle travaille aujourd'hui en mensuel qu'elle n'est pas toujours aussi  « stressée et énervée »... Peut être parce qu'elle a arrêté de fumer (pour la 12ème fois !). Quoi qu'il en soit, elle n'en reste pas moins convaincante dans « un travail de fond de sourire et d'amabilité » qui à l'image d'une « montée en crème de chantilly », apportent des fruits relationnels importants à long terme.

 

Est-ce parce qu'elle a vécu une histoire aussi tumultueuse que passionnée avec son premier amour lyonnais, ou parce que son quartier de Saint - Jean  (110 m² de terrasse en plein Lyon !) lui inspire des évasions champêtres ? Françoise Petit adore Lyon, « cette ville du sud à la classe du nord ». Pour les plaisirs de la bouche, c'est au « Passage » ou au « Comptoir du bœuf » qu'elle s'arrêtera.

 

Quant aux soirées mondaines, elles ne contentent pas le « besoin d'authen-ticité » qu'elle recherche chez les gens simples. Et les voyagent lui conviennent tant qu'elle reste en contact avec la terre qui lui est si chère, et pour cause l'avion ne lui inspire que de la peur. « Solide mais pas aventurière » c'est ainsi qu'elle se définit. Et cette mère, chef du bureau du Figaro Rhône-Alpes aime autant parader en public que se prélasser le dimanche après-midi laissant transparaître un côté femme aussi naturelle que possible.
 


Réagir à
cet article

 

 

A suivre, Elodie Bagnères se fiance avec 1001 listes.fr

 

page suivante

 



 

 

 

Le café réchauffé c'est terminé !

Cliquez ici