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6 mars 2006


 Le cardinal démolisseur


Monseigneur Barbarin
 

C'est le surnom qui circule déjà dans les milieux catholiques pour désigner l'archevêque de Lyon empêtré dans ses affaires immobilières. Qui risquent de marquer au fer rouge son ministère.

 

Monseigneur Barbarin l'a confirmé. La paroisse Sainte Marie de la Guillotière (Lyon 8ème) est vouée à la démolition. Les voies de la Providence étant, comme chacun sait, impénétrables, une surprise de taille attendait les paroissiens désespérés dans Le Progrès. On y lit que le sauvetage pourrait venir de la municipalité socialiste. « C'est un comble quand on sait que Gérard Collomb est franc-maçon ! » sourit une spécialiste des affaires religieuses. Dans la plus pure tradition lyonnaise de tolérance religieuse, le maire de Lyon ferait ainsi un joli pied de nez au cardinal et au petit père Combe (qui doit se retourner dans sa tombe).

Car derrière la peu gracieuse façade bétonnée, ce sont  plusieurs symboles que certains voient partir en fumée. Pour Gilles Buna, adjoint à l'urbanisme, l'église représente un témoignage rarissime de l'architecture religieuse de cette époque. Les paroissiens qui ont payé eux-mêmes la construction éprouvent un sentiment de spoliation. «  La démolition serait lourde de symbole alors que dans le même temps des salles de prière fleurissent dans le quartier ! » souligne un fidèle rencontré sur place. En dépit de l'offre d'un industriel lyonnais prêt à débourser 1,7 millions d'euros (soit 11 millions de Francs) pour sauver l'édifice, le cardinal reste buté sur sa première décision. Le boulet est désormais dans le camp de la mairie.


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A suivre, Le Life Can Wait mis à nu
 

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