Comment s'appelle-t-elle déjà ?
Certains
la disent caractérielle, d'autres la disent parfaitement incontrôlable ; chacun
s'accorde à la détester, à l'exception de quelques petits vieux ou
petites vieilles de son arrondissement, ou encore quelques militants subjugués.
Au
cours de la campagne, Alain Bideau, pourtant "soupe au
lait", a fait ce qu'il a pu pour garder son calme républicain et
faire taire son ego (pourtant colossal), évitant ainsi de lui filer sa
main sur la figure (il n'était qu'à le regarder bouillir quand la dame
jouait (?) les pimbêches). Manifestement, ça le démangeait et il n'était
pas le seul à ronger son frein.
Aujourd'hui,
la "mégère non apprivoisée" qui a effectué une campagne d'adjudante-chef
en se fabriquant des ennemis politiques désormais
indéfectibles, va devoir être vigilante si elle ne veut pas payer la
note.
Mettra-t-elle
sa menace (sic) à exécution, elle qui sur les marchés, déclarait,
furibarde, qu'elle partirait avec enfants, mari, chien-chien et autres
objets personnels pour un exil salutaire, si Gérard
Collomb prenait la ville.
Chiche
! Ce sera le premier bon point à mettre à l'actif de Collomb de nous débarrasser
de cette "douce élue" qui n'ajoute rien au crédit des politiques et dessert considérablement
la cause féminine.
A
suivre, Après la Droite,
la Gauche se décime !
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