Justice
est faite !
Le résultat de ce second procès a eu l'effet
d'une cure
de jouvence pour notre facétieux ami
La justice, à défaut d'être immanente, n'est pas
injuste puisque notre ami Jean-Marc Requien
vient (enfin) d'être lavé des vilaines
accusations lancées il y a 4 ans par Lyon
Capitale. Le Tribunal de grande instance de Lyon
a en effet condamné pour diffamation JO
Arfeuillère et l'hebdo des pentes. JMR avait
réclamé 1 symbolique à titre de dommage et
intérêts. S'il avait la volonté de se voir
rendre justice, il n'était pas pour lui question
de mettre en danger de mort l'hebdo déjà bien
fragile. Surtout qu'il avait fortement aidé Lyon
Cap au début de son existence. Comme vous
pourrez le constater, l'ancien PDG d'Euro RSCG
Ensemble, malgré son grand âge, fait preuve
d'une certaine naïveté. Voilà qui est
rafraîchissant.
Lyon People : Vous avez l'air particulièrement heureux...
JMR : Ca se comprend ! Cela fait plus de 3 ans que Lyon Capitale m'a
traîné dans la boue pendant des semaines à
longueur de pages, à l'époque où j'assurais un
audit pour
la Ville de Lyon. Je commençais à trouver le
temps long. Lyon Capitale avait déjà été
condamné il y a 1 an pour diffamation dans
l'indifférence générale de la presse lyonnaise.
Je suis heureux que ce 2ème procès
fasse définitivement table rase des accusations
mensongères de Chaslot et de ses petits
copains.
On n'a en effet pas beaucoup parlé de ce procès
gagné il y a un an?
Je ne vous le fais pas dire. On peut imaginer
que la presse lyonnaise et Lyon Cap auraient
fait plus de bruit si j'avais perdu. Idem pour
ce nouveau procès.
Pourquoi tant de haine contre vous ?
Pour ce qui est de la campagne de dénigrement,
elle s'explique en partie par mon tempérament
trop intransigeant pour le monde politique. De
plus, une collaboratrice très contestée du
service communication (une ex-journaliste) avait
vu son contrat non renouvelé et la directrice de
communication, particulièrement inadaptée pour
ce poste, ont raconté tout et n'importe quoi sur
mon compte dans toute la ville et plus
spécialement au siège de Lyon Capitale.
Chaslot qui me déteste et aime jouer les zorros
appointés, a foncé tête baissée. Il en profitait
pour régler de vieux comptes. Si l'on ajoute à
cela que certains adjoints craignaient qu'un
homme dit de droite donc quasiment fasciste-
s'incruste dans les couloirs de l'Hôtel de Ville
et influence Gérard Collomb avec qui, il
est vrai, j'étais très proche. Si l'on ajoute
encore que je conseillais au maire de vérifier
les tirages fantaisistes des journaux dans
lesquels la Ville faisait sa pub, on comprend
mieux le dénigrement dont j'ai fait l'objet.
Pourquoi la presse a-t-elle pris argent comptant
les élucubrations de Lyon Capitale et pourquoi
ne vous a-t-elle pas donné la parole ?
J'ai un contentieux avec les journalistes
lyonnais. Quand Lyon Libé et Stratégies R.A se
sont créées il y a une vingtaine d'années, leur
contenu était tellement discutable que j'ai
immédiatement pronostiqué leur échec. Cela n'a
évidemment pas plu à Marmoz et aux autres
scribouillards (comme dirait Barre),
sectaires. Leurs clones qui ont fleuri dans les
gazettes locales ne m'ont jamais pardonné mes
attaques répétées contre le copinage et la
paresse intellectuelle journalistique ou les
diktats de la pensée médiatique. Pour un
Calvi, combien de Florent Dessus,
combien de Mesplède, combien de Chaslot,
combien de Landrin, combien de mainates
incultes qui perroquettent des infos même
fausses, de leurs confrères. J'espère sans trop
y croire que la floraison de nouveaux titres, va
changer la donne. On va voir si ceux qui avaient
relayé avec délectation les propos diffamatoires
de Chaslot, ex-architecte en piscine devenu sur
le tard journaliste politique, me rendront enfin
justice en relatant la double condamnation de
Lyon Capitale par deux tribunaux différents.
On va voir également comment la presse, va
parler des deux expositions de mes peintures et
collages qui auront lieu en octobre. On a le
droit de rêver.
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