Mes têtes de turcs tombent comme à Gravelotte
Après Catherine
Rolland partie pour les Mines de sel, voilà qu'on m'annonce le départ
de Sophie Landrin, du Monde. Une erreur de casting enfin
réparée.
La "localière" du
quotidien parisien se distinguait par une désinvolture qui n'avait d'égale
que son goût pour le copinage. Ce qui la conduisait à quelques règlements
de comptes indignes d'un journal comme Le Monde. Pour un peu que
Collomb vire Tête et Martine Roure, mon fonds de
commerce sera liquidé.
Ce qui ne fera pas les affaires de Sylvie
Guillaume, Jean-Michel Daclin ou autres Beghain qui
devront faire office de "pantins" de remplacement.
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Les dieux en enfer
Malheur aux vaincus.
Ne crions pas avec les loups et ne tirons pas sur l'ambulance.
Disons, pour clore
le débat, que nos champions du monde n'ont jamais eu la lucidité et
l'humilité d'admettre qu'ils avaient eu beaucoup de chance pour leurs
parcours de 98 et 2000.
Cette fois-ci,
hormis le fait qu'ils n'ont pas été très bons, Dieu a refusé de leur
donner les coups de pouce qui changent le cours de matches. Peut-être pour
faire réfléchir nos dieux de pacotille aux méfaits de la vanité.
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L'humour au quotidien
Je dis beaucoup de
mal, à juste titre, de nos journalistes locaux. Me permettra-t-on de dire
tout le bien que je pense de Jean-Philippe Mestre, billettiste du
Progrès ? C'est drôle, c'est iconoclaste, c'est rarement convenu.
Ce seront bientôt les seules lignes que je lirai dans un journal qui a du
mal à sortir du quotidien... de province.
Mais, bon !
Peut-être a-t-on les quotidiens qu'on mérite !
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Aulas prend son pied
Jean-Michel Aulas
est bien allé en Corée. Histoire de se faire de nouveaux amis dans le
monde du foot.
A l'aéroport de
Busan, il a été obligé par les physionomistes coréens de retirer ses
chaussures pour inspection de sécurité. Il s'est ainsi retrouvé en
chaussettes sous l'il narquois de supporteurs français qui avaient
assisté au nul des leurs la veille, face à l'Uruguay.
Comme quoi, en
Asie, tout le monde rit.
suite
de la chronique
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