L'argent coule à flot
On le sait, les
magazines adorent fabriquer des suppléments "pièges à pub". Le Grand
Lyon adore dépenser notre argent dans ce type d'actions nombrilistes
et totalement inutiles.
La dernière annonce
de la Communauté Urbaine de Lyon : " Voir grand... être proche ",
montre toute la modernité de notre belle collectivité locale (le visuel
bien sûr, montre un il et une main tendue. Les poncifs ont la vie dure).
Dans la body-copy, on trouve cette phrase (ne riez pas) : "Stimuler
l'intelligence, la créativité... c'est tout le pari (sic) du Grand
Lyon."
Xavier Doublet,
qui est à la ringardise ce que le Pavillon de Sèvres est au "Mètre-étalon",
démontre une fois de plus son incompétence en matière de communication.
Mais est-ce bien grave ? C'est pas lui qui paye.
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Coupe gay ?
Que ne ferait-on pas
pour faire ami-ami avec le lobby homo des terreaux dont on sait
l'importance et l'influence à Lyon. Thierry Braillard, l'Adjoint à
la Jeunesse, étudierait attentivement l'organisation pour 2004, d'un
"Mondial gay" de football.
Si avec ça, il ne se
réconcilie pas avec l'intelligentsia des Pentes, c'est à désespérer. Qu'il
se méfie cependant, car chacun le sait, certains n'ont pas toujours la
reconnaissance du ventre.
ä
Rouge ou vert ?
Pourquoi les Verts
continuent-ils de s'appeler les Verts, alors que leur combat est plus
gauchiste qu'écolo ? Qu'ils cessent de s'accaparer un concept par
définition ni de droite ni de gauche.
Pour que cesse leur
escroquerie intellectuelle, je leur propose des noms plus conformes à
leurs véritables aspirations : "Les Rouges", ou encore "A gauche
toute", "En avant la gauche", "La gauche extrême", ou
encore "A gauche au fond de la cour". Bref, qu'ils cessent de
mentir aux électeurs comme à eux-mêmes. Ainsi Mamère, qui jadis
"faisait des ménages" pour le lobby nucléaire, ne s'emberlificotera pas
dans des circonvolutions pour justifier l'injustifiable.
ä
Si t'es gay, ris donc !
A lire dans le
dernier Lyon Mag, un long reportage sur le lobby gay dans notre
ville. Même si l'enquête est bien superficielle ! On constate en effet que
les journalistes en charge du dossier, ont choisi de mettre la pédale
douce.
Ce qui prouve
combien ce lobby effraye tout particulièrement les médias qui vivent en
partie de la manne publicitaire distribuée généreusement par les
organismes culturels où la communauté gay n'est pas absente (litote). Pas
question de se fâcher avec eux.
suite
de la chronique
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