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Les humeurs de Toussaint Pothin 

 

Le bloc-net du lundi 7 mai 2001

 

Les francs-maçons relèvent la tête

 

Ceux qui pensaient que la nouvelle donne politique les avait débarrassé de Rivalta, risquent d'être déçus. L'ex-ennemi de Charles Hernu, qui balade son aigreur et ses frustrations dans les couloirs du Conseil Général, pourrait faire un come-back inattendu au Sytral.  

 

 

Alors qu'il avait été soigneusement écarté de tout poste à responsabilité par les nouvelles équipes en place (alors qu'il y a six mois, il laissait entendre aux milieux autorisés qu'il pourrait devenir le grand patron de l'Urbanisme à la Courly), il risque d'être remis en scène. Chez Mercier, où l'on n'a pas digéré les insuffisances capricieuses de Philip et son refus de s'effacer devant le patron de l'UDF, certains profiteraient de l'élection du Président du Sytral pour faire un sort au descendant de Philip. Et comme Mercier est très copain avec Rivalta, on peut s'attendre à des surprises.  

Reste qu'à gauche, tout le monde n'aime pas Rivalta, volontiers hautain et même méprisant avec ses amis politiques qui n'ont jamais su reconnaître ses mérites pourtant considérables. Va-t-on voir la droite voter pour Rivalta et la gauche pour Philip ?

Quoi qu'il en soit, Philip ou Rivalta, les Lyonnais ne seront pas transportés de joie.

 

Un que l'on croyait perdu corps et biens et qui essaie de refaire surface, c'est l'inusable Marc Fraysse qui en est à organiser des petits déjeuners au Café des Négociants. Le prochain sera consacré à la mise en place de l'euro (cela cache-t-il une folle envie de notre "sans domicile fixe" de se retrouver sur une liste pour les Européennes ?).

Comme le petit déjeuner aura lieu à 8 heures, il faudra non seulement être un fidèle de Marc Fraysse (y en a-t-il encore ?), être ignorant des choses de l'euro mais surtout, un lève-tôt. Marc Fraysse va pouvoir compter ses vrais amis.

 

Intéressant papier de Lyon Capitale qui met en exergue l'importante quantité de francs-maçons dans les nouvelles équipes dirigées par Gérard Collomb. Gé-gé (si c'est pas de la symbolique !) n'a jamais caché son appartenance au Grand Orient. Sa photo officielle de la campagne 95 le montrait même photographié rue de la République, devant un magasin GO Sport. Vu de loin, on ne distinguait sur l'enseigne que les lettres GO (vous avez dit symbolique subliminale ?).

Pour éviter toute critique, il a décidé de jouer la transparence - même si ça ne plaît pas à tous ses frères élus.

Cette attitude est à rapprocher de l'information publiée dans CB News et commentée par Christian Blachas. La Grande Loge Nationale Française vient de prendre une agence de communication. Si l'éditorialiste de CB News trouve la problématique intéressante, il reste cependant très dubitatif : "Le problème, c'est qu'on peut se demander si la nature même de la franc-maçonnerie et si son principe, qui repose sur la discrétion totale, sont bien compatibles avec la notion de communication. Communiquer, c'est jouer la transparence. Communiquer, c'est identifier le récepteur (quelle cible vise-ton ?). Communiquer, c'est avoir un message fort et simple à délivrer. Communiquer, c'est souvent se comparer (à qui ?). Communiquer, c'est mettre en avant un bénéfice consommateur. C'est se dénuder. Se livrer. Autant de notions qui paraissent complètement éloignées de la philosophie et - j'allais dire vulgairement - du fonds de commerce de la maçonnerie."

Attendons de voir si nos hommes de lumière vont enfin sortir de l'ombre, et si nous allons découvrir une campagne du style : "La République, une maison de maçons !".

 

Une mauvaise nouvelle et une bonne pour terminer ce court papier "pré-8 mai".

La mauvaise d'abord : je vous annonçais le départ probable de Bruno Baixe, le patron de TLM : ça se précise malheureusement ; il devrait partir fin mai. Nous serons nombreux à regretter son départ.

Une bonne : ce ne sera pas Bernard Seux qui lui succèdera, mais bien cependant un co-équipier de Huertas, le patron du Dauphiné Libéré. Ce chamboulement à la tête de TLM est plus dû - on le voit – au problème de sur-effectif et de restructuration du groupe Hersant qu'aux problèmes spécifiques de TLM.

 

 

A suivre, Le bloc-net du 30 avril 2001

 

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Le café réchauffé c'est terminé

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