Par Serge Tonioni
Dommage de ne pas avoir pu voter pour la couverture du centième numéro de Lyonpeople ! C’est, sans aucun doute, la plus belle de l’histoire de ce magazine. A la fois classe, sobre, non-opéable et en raccord, s’il vous plait, avec la pub de la dernière page.
A peine sorti, ce numéro cent faisait déjà jaser… On entendait les exclamations heureuses : ouf, j!y suis ! Et les interrogations étouffées : ce n’est pas possible, je n’y suis pas ? Et oui, le coté collector a joué pleinement son rôle. Même les principaux "acteurs" Marco et Nico ne sont pas en reste. Il faut voir leur partie de pêche réalisée sous les fenêtres du Progrès, ils sont mûrs pour Koh Lanta diront les mauvaises langues… privées de fête. En effet, le parc de la Tête d’Or aurait dû être le théâtre d’une giga fête people à l’occasion de la sortie de ce numéro 100 mais les Verts ont vu rouge. Dès lors la fête est repoussée à une date ultérieure où les élus de toutes couleurs (à l’exception du vert) seront les bienvenus. En attendant, une partie du budget prévu pour la soirée a été allouée au numéro 100, ce qui lui confère ce coté luxueux avec un format imposant et une photogravure majestueuse… qui lui permet d’être vendu aujourd’hui (le comble pour un gratuit). Notons qu’à coté de la longue liste des collaborateurs de rédaction cités (pseudos compris ou incompris), ils sont seulement quatre communicants ou journalistes à figurer pleine page dans ce "best of people 2000/2010" : le photographe Mario Gurrieri, l’animateur Barth, l’ex directeur de publication, Fernand Galula et le journaliste Christian Mure. Enfin, feu Albert Agostino aurait sans doute apprécié que Justin Calixte lui consacre la chute de son papier "Nos chers disparus" lui assurant une reconnaissance fielleuse éternelle.
La lettre du Club de la Presse de Lyon – Octobre 2010
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