Par Saint Pothin
Quand on en voit une, l'autre est deux pas derrière, comme les vieux couples qui finissent par se ressembler. Seul le peopliste élu local distingue Nadine Gelas de sa groupie, Laurence Renaudin. Elles ont appris la mode auprès des play-boys que furent Collomb et Buna, et la prétention artistique avec des papes de la suffisance comme Georges Verney-Carron. Elles arborent un rictus inamovible, digne de chez Mme Tussaud ou du chirurgien réputé Niforos, aussi franc et décontracté que le sourire de Perben. Le sourire serait même le seul truc avec lequel Lolo, éternelle seconde de l'atelier, met K.O. la douairière. La mode est courant d'air subtil. Péter dans la soie a donné des grands airs aux roturières du taffetas. Uniques clientes l'une de l'autre, dans l'underground branchouille lyonnais, elles n'en finissent pas, avec une ère de retard, d'incarner leur mode courtisane à l'heure où leur look gothique est réservé aux minettes à la puberté tenace ou à la "copine de chambrée faire-valoir" des séries TV américaine. Les lyonnais, grands fidèles, ont toujours eu du mal à se séparer des reliques glorieuses du microcosme mondain. A l'heure du recyclage cher au Grand Lyon, un plan de mandat s'impose pour nos croqueuses de paillettes.
Mon Dieu ! Quel article jubilatoire ! Enfin un journaliste qui en a ! Quinze ans que Lyon attend ça… LA VÉRITÉ ! EN-FIN ! Oui, il est grand temps que ce triste binôme disparaisse à jamais dans les traboules ténébreuses de l’oubli… Dans le microcosme des attachées de presse lyonnaises, je n’ai jamais rencontré autant d’hypocrisie de la part d’une « professionnelle »… Grand sourire aux dents longues sur fond de rouge à lèvres noir… mais surtout grands couteaux plantés dans le dos dès que vous lui tournez celui-ci… Attention… Avec ces deux là, c’est tous les jours Halloween…
Merci. Merci. Merci…. Il fallait oser. Lyon People l’a fait …
Quelle magnifique leçon d’analyse de l’âme humaine, oui les bernard l’hermite ont le même coiffeur, oui ils n’ont pas disparu de nos paysages urbains. L’hypocrisie révélée dans toute son opiniatre malveillance, doublée d’une inefficacité professionnelle digne des plus hauts sommets.