Soirée du printemps de Pérouges
Vendredi 7 juin 2002
De notre
correspondant Julien
Le Festival de
Pérouges initié par Marie Rigaud emprunte pour la première fois
le hall central de la gare TGV de l'Aéroport Lyon-Saint Exupéry. Ce lieu
d'exception voit défiler une kyrielle d'artistes applaudis par les
people toujours à l'affût d'une belle fête.
L'accueil de la
presse se veut chaleureux, un cocktail avant le spectacle doit leur
insuffler la force... des bulles. On retrouve rapidement Sophie Turion
derrière le seau à champagne. Sous les yeux ébahis d' Isabelle
Rousset, responsable presse de l'aéroport, elle annonce
joyeusement l'open bar. Les jus de fruit ne semblent pas avoir la côte.
Le champagne coule à flot, ce qui ne manque pas d'attirer les politiques
du coin.
Jack Méchain,
maire de Chassieu, vient prendre l'ambiance avec sa femme
Marie-claude. Notons également la présence du maire de St Bonnet
de Mure, Jean-pierre Jourdain. Jack Chevalier, adjoint
à la culture de la mairie de St Laurent de Mure, toujours
à l'affût d'idée fit le déplacement avec plaisir. Jean-luc Véry,
nuits de Fourvièvre, est également de la fête.
Pour séduire un
peu plus les journalistes présents, l'aéroport offre stylos et boules
anti-stress en forme d'avion. Doit-on voir un rapport évident entre
avion et stress ? Un convive indique avec malice que ces avions
miniatures sont réservés aux voyageurs TGV. Ce qui ne manque pas de
plaire à Bernard Chaffange, directeur de l'aéroport. L'heure du
concert approchant les invités se voient priés de rejoindre prestement
leur siége, oubliant les bouteilles si souvent si souvent synonymes de
bonne humeur !
La compagnie
Retouramont exécute le spectacle « vertical & horizontal »
dés 19h. Des grimpeurs escaladent l'extérieur du hall de l'aéroport et
effectuent des figures de danse défiant les lois de la gravitation. Le
concert succède aux acrobaties artistiques. Une vocalise surprenante,
interprétée par Carole Hémard, ouvre le concert. Cette dernière
ne laisse personne indifférent. C'est peut être cela le talent, ne pas
chercher l'appui du plus grand nombre.
La prestation
effectuée devant 750 personnes montre le courage de la vocaliste.
L'orchestre, accompagnée de la soprano Marie Devellereau, succède
à cette dernière pour jouer une récente création de Karol Beffa.
Pendant ce temps nos acrobates voltigeurs continuent le show à
l'intérieur du hall. Il s'agit d'un spectacle aérien parfaitement
coordonné à la musique du concert. Les yeux et les oreilles découvrent
alors le ravissement simultanément. L'orchestre joue « les chants de la
princesse des contes de fées » de Karol Szymanovski. Le
« Boléro » de Maurice Ravel assure l'envoûtement des
spectateurs.
Le concert finit
dans une sérénité monacale vers 22h30. Les VIP en auraient même oublié
le buffet ! Quelques instants suffisent pour que nos people retrouvent
le chemin du buffet. Un buffet « sponsorisé » par la maison Jocteur
et le groupe Aoste (Jambon). Renaud Jocteur, frère de
Philippe, supervise le bon déroulement du service. Le groupe
Aoste profite de l'occasion pour réaliser des sondages de notoriété
sur la marque auprès des convives.
Le buffet prend
place au premier étage du hall. La vue plongeante magnifie le côté
exceptionnel du lieu. Malheureusement peu de tables permettent aux
invités de manger sereinement. Chacun s'installe où il le peut, debout
et assiette à la main. Des verres posés sur le rebord de la rampe,
tombent malencontreusement dix mètres plus bas. Fort heureusement, à
cause de l'heure tardive, aucun voyageur n'est blessé...
Les diapos de la
soirée, c'est maintenant !
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