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04 décembre 2006


 « Mon nom est Schiff, Fabrice Schiff... »
 


 

Par Marie Hess

 

C'est en simultané avec la sortie de «Casino Royale» que Fabrice Schiff propose une rétrospective photographique du fameux numéro 007. 35 photos des acteurs—vus à Cannes ou à Deauville-- ayant incarné l'espion le plus célèbre recouvrent les murs du hall du cinéma. Zoom sur une expo-hommage, d'un fan à son idole.

 

Cela fait désormais huit ans que Fabrice Schiff expose diverses photographies au cinéma Pathé, mais cette fois-ci, c'est du James Bond. «Je suis un fan absolu», avoue-t-il avec les yeux brillants d'un homme resté grand enfant. Et on le comprend. Le succès du personnage créé par Ian Fleming il y a plus de 50 ans ne se dément pas. Selon le quotidien indien The Times of India, «la marque est Bond et le logo 007». Le journal attribue, en outre, le secret de cette popularité sans faille à «l'incroyable manière dont ce héros a été adapté aux évolutions géopolitiques et sociales». De la passion de Fabrice Schiff est donc née l'exposition. C'est en réalité sa seconde exposition sur James Bond. Il avait eu l'idée de la première en 2002, lors de la sortie de «Meurs un autre jour» avec Pierce Brosnan (James Bond de 1995 à 2002). Le photographe avait alors également, en parallèle, publié un ouvrage recensant ses plus beaux clichés sur les différents visages du personnage. Le livre s'intitule sobrement «James», et est toujours disponible au prix unitaire de 12 euros. Les photographies, quant à elles, sont également à vendre, sur place ou via une commande, auprès de fabschiff@netcourrier.com, ou bien sûr Fab@lyonpeople.com.


La galerie de portraits s'intéresse aux acteurs ayant, selon Fabrice, le plus fortement incarné l'agent secret. Parmi eux, il y a bien sûr Sean Connery, l'emblématique, le mystérieux (James Bond de 1962 à 1966, puis en 1971 et en 1982), ou encore Timothy Dalton (1987-1989). Mais le photographe verra réellement éclore sa révélation en regardant «L'espion qui m'aimait», avec Roger Moore. «Un grand moment», souffle-t-il. Dans l'exposition de Fabrice Schiff, il y a James Bond. Mais il n'est pas tout seul. Il y a les héroïnes, les «James Bond Girls». Et également celle qui aurait pu en faire partie mais qui n'a pas pu --ou pas voulu, on ne le saura jamais--, la Reine Mère! Clin d'œil furtif mais efficace à celle qui est évoquée dans chaque épisode de la saga, James Bond étant «au service de sa Majesté». Les «James Bond Girls» ne sont pas en reste. Pour n'en citer que quatre: Teri Hatcher dans «Demain ne meurt jamais» en 1997, Sophie Marceau dans «Le Monde ne suffit pas» en 1999 et Halle Berry dans «Meurs un autre jour», en 2002. Sans oublier la désormais célèbre Caterina Murino dans «Casino Royale». Enfin, si vous croisez Fabrice Schiff au détour de l'exposition, demandez-lui son avis sur le dernier James Bond. Toujours aussi enthousiaste, il vous répondra:« Je l'ai déjà vu deux fois. Il a certes été beaucoup critiqué, il reste un bon cru. A voir! Car même si les gadgets sont un peu moins nombreux, les femmes sont toujours aussi belles!» C'est dit !


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Fabrice Schiff
 

 

 

 

 


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