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13 janvier 2003

 

Rideau sur la Passerelle !

 

 


Témoin incontournable de nos fins de nuits agitées, le bistrot de la Passerelle n'aura pas résisté longtemps au départ de don emblématique propriétaire Albert Dray. L'établissement du quai Saint Antoine a été placé en liquidation judiciaire.

 

Flash back. Le 22 février 2000 marque un tournant dans la vie d'Albert. Après 15 ans de bons et loyaux services derrière le comptoir de La Passerelle, la grande gueule des quais de Saône tire sa révérence et le gros lot en cédant son établissement à un tandem composé de Jean-Luc, cuisinier de formation et de Nadine, une jolie infirmière passionnée de ski nautique.

 

Très vite les repreneurs vont se heurter à un problème qu'ils avaient sans doute sous estimée au départ, à savoir la très forte personnalisation de La Passerelle « une affaire de patron » comme on les nomme dans le jargon de la restauration. Un élément décisif et très subjectif aux effets dévastateurs : dès l'ouverture du Café du Pond, le bouche à oreilles fait merveille. En deux temps, trois mouvements, Albert (ci-contre) rapatrie tous ses fidèles habitués à s'infuser son escalope à la crème et son gratin dauph' en intraveineuse. Pour les nouveaux, le coup est rude : il faut repartir de zéro.

 

Autre problème récurrent : la gestion de la clientèle des nuiteux, de plus en plus hétéroclite. Pas besoin de vous faire un dessin, ce n'était pas la crème ! Rajoutez à tout ça l'incendie de janvier 2002 (avec 6 mois de fermeture à la clé) et vous comprendrez vite que l'affaire était mal engagée.

 

L'établissement qui donne à la fois sur le quai Saint Antoine et la rue de la Monnaie ne devrait rester orphelin très longtemps. On raconte que Jean-Louis Manoa, propriétaire du Mercière est déjà sur les rangs...

 

 


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A suivre, Quand Lucchini se fait remonter les bretelles !

 

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